Le sexe est un facteur primordial dans la vie d’un couple. Si la relation devient routinière surtout côté sexe alors on a un grave problème. Aujourd’hui j’ai envie de vous raconter comment je m’y suis prise pour franchir le cap des tabous pour prodiguer un bon anulingus à mon homme.
Avant de commencer à me juger, que savez-vous de cette pratique ?
Saviez-vous que nombreux sont les hommes qui aiment ça ? C’est une pratique assez agréable que les partenaires peuvent s’offrir l’un à l’autre.
Tout d’abord je me suis documentée sur le sujet, puisque tout est agréable dans la relation si surtout vous aimez la vôtre. J’ai donc découvert à ma plus grande surprise que l’anus était une zone érogène et qu’elle peut être stimulée. Après ça j’ai discuté avec mon chéri sur ses envies et sur les miennes. Il m’a alors avoué qu’il adorait essayer d’autres choses pour sortir de la routine et qu’il me laisse le libre choix. N’est-ce pas formidable ?
Dans les films érotiques, il n’est pas rare de voir les hommes la pratiquer avant une sodomie et les femmes la pratiquer dans des contextes de soumission ou d’humiliation.
Il n’en est rien. C’est l’une des pratiques parmi tant d’autres que j’ai choisi pour surprendre monsieur ce fameux vendredi soir là. Loin d’être timide, je pris alors les reines cette soirée-là. Je lui ai coulé un bain pour que son arrière-train sente bon et je l’attendais patiemment dans notre lit d’amour. Personnellement je voulais essayer toutes les positions possibles, mais il ne faut pas que j’ai un torticolis. Alors je choisirai la plus confortable au moment venu. Je me suis mise assez naturellement à le caresser, l’embrasser dès sa sortie de la douche, le corps encore mouillé. Arrivé au moment où je sentais peu à peu sa verge tendue, je décide alors de m’aventurer vers elle.
Je voulais commencer par la fellation, avant de finir avec un anulingus, mon idée étant de combiner les deux.
Je me disais que ce serait beaucoup plus excitant s’il avait la queue bien tendue.
Apres la fellation, je commençai son anus en douceur, en appuyant de temps à autre avec ma langue passée à plat sur son orifice qui sentait aussi bon que son corps tout entier.
Quand j’ai commencé à entendre ses gémissements j’ai compris que j’étais sur le droit chemin, les mouvements de ma langue dans son cul se firent de plus en plus rapides et j’aspirais de temps à autre comme si j’allais lui faire un suçon. J’ai improvisé sur cette sensation qui consistait à avaler son anus et il a semblé apprécier fortement. Je recommande vivement cette pratique.
À ce moment-là, je sais que je contrôle complètement la situation, je lui ai dit alors de se caresser et j’enfonçais mon visage dans les profondeurs de son entrejambe.
Je mis tout mon amour à l’œuvre, le suçant et le léchant de tout mon être. Je bavais et je glissais mon visage verticalement. L’effet recherché était renforcé à chaque fois que mon nez venait s’appuyer contre son périnée. Je repoussais sans cesse mes limites afin de lui permettre de ressentir le plus de plaisir possible. Ma seule récompense est de le voir éjaculer et gémir de plaisir. Je sais dès lors que ma mission est accomplie et je ressens une sorte de satisfaction.
Je ne risque pas d’abandonner cette pratique et je continuerai de la pratiquer même s’il arrive que nous nous éloignions l’un de l’autre. Je lui dirai que j’ai une forte envie de lui lécher le cul Je lui donnerai le plus de détails possibles sur la manière dont je vais m’y prendre, afin que les moments soient gravés dans son esprit.
Je vous recommande vivement de vous y mettre et de transcender toutes les idées reçues comme étant tabous concernant ce genre de pratiques sexuelles.
Demandez-vous aussi que votre partenaire vous procure un anulingus et vous verrez qu’elle vous fera planer.
Donc voilà, vous savez tout sur mon histoire. Je vous conseille avant de passer à l’acte, d’en discuter avec votre partenaire afin de vous satisfaire mutuellement. Faites-le avec plaisir et surtout lorsque vous en avez envie tout autant que votre partenaire.